Consoude, armoise, sureau, seringat, des noms de végétaux qui laissent perplexe la première fois qu'on les entend. Pourtant, derrière ces noms se trouvent des plantes aux propriétés étonnantes. Un savoir qui peut s'oublier mais qui reste vivant grâce aux ethnobotanistes. Partons à la découverte de ces plantes avec Patrick Canal, pour qui "Il n'y a pas de mauvaises herbes" ! En bonus découvrez trois plantes qui poussent en Ariège : Le sureau Le seringat L'ophrys araignée
Une ferme "Rove and roll" ! ça décoiffe ! Lia et Jojo, pâtres à l'année, mènent leurs chèvres au cœur de la forêt d'Alzen. Dehors, quelques soient les saisons, le troupeau nettoie et entretient les forêts où les hommes ne passent plus...
Ce film imaginé par les élèves de la classe de 4èmeA du collège Victor Hugo de Lavelanet est un film d'anticipation sur l'avenir de notre planète autour d'une réflexion sur l'évolution des réseaux sociaux et des conséquences du réchauffement climatique. Nous sommes en 2100, les habitants réapprennent à planter des légumes malgré le manque d'eau. Dans le cadre du plan EMI- éducation aux médias et à l'information - DRAC Occitanie.
Lors du 70e anniversaire de la mort de Jean Moulin, l'ANACR organise une journée de marche et de rencontres à Croquié. Ce flm réalisé par des jeunes, célèbre l’esprit de résistance d'hier et d'aujourd'hui. Un flm des jeunes du Douctouyre et de Foix : Tom Bérenger,Pierrot Fauré, Elsa Quiles, Julie Moreno, Morgan Vidal, Charlotte Bérenger, Pauline Reig , Amélie Rampnoux, Jules Yebdri, Ludovic Alliey, Laura Pineau, Marie Alibert, Emma Blaquart, Luna Lesoing. Accompagnés de Valérie Guillaudot, Caméra au Poing . La journée du 25 mai 2013 a été organisée par l'Association Nationale des Anciens Combattants et Amis de la Résistance (ANACR). Ce projet de flm a été soutenu par le FDLA.
Jean Roger voulait être pâtissier. Des études courtes pour fuir les moqueries à l'école. Mais la vie en décide autrement et à 17 ans il doit construire un nouveau projet.
Il fait encore nuit en ce mois de février 2022 et la ville de Foix se réveille. Les bus libèrent quelques centaines d'élèves qui prennent la direction des établissements scolaires. De jeunes adultent marchent en direction de leur travail, de la crèche ou de l'université. Nous suivons Margaux et Claire sur la côte qui monte à Cadirac. Etudiantes, elles évoquent leur relation à la ville.
Les rues de Foix sont calmes. Une silhouette entre au Patchwork, près de la Halle Saint-Volusien. A 9 heures c'est le rendez-vous des bénévoles du jour qui se réunissent pour cuisiner, échanger et créer du lien social. Aujourd'hui, Caroline et Garance apportent leur aide à Nel, la salariée. Entre l'artiste-jeune maman, l'orthophoniste et l'animatrice-cuisinière anglaise, le dialogue se noue sur leurs envies et la ville.
Fin de matinée, ce mardi à Foix, la ville bruisse de ses passants. Elèves du lycée Gabriel Fauré, Zoé, Maëliss, Mona et Martin, investissent l'espace en quête de lieux... de coins pour se retrouver, d'endroits pour expérimenter.
Arrivée depuis peu à Foix, Camille, dessinatrice, vient découvrir l'atelier d'artistes de la rue du Mercadal. Une rencontre s'opère avec deux autres jeunes artistes, Caroline et Alitché. Naissance d'un échange autour de leurs inspirations et de leurs préoccupations.
Début d'après-midi dans le petit jardin du centre de Foix, traversé par des gens de tous les âges. Célestine et Miguel, bientôt trentenaires, évoquent leur attachement à la ville qu'ils n'ont pas su quitter à la fin de leurs études. Deux bancs plus loin, Ona et Jordan témoignent de la difficulté à partir pour ceux qui ont grandi là. Tous évoquent leur envie d'un territoire proche de la nature mais constatent les obstacles pour s'y construire un avenir.
Depuis l'inauguration du nouveau Pôle Jeunesse, le skatepark et le PAAJIP sont devenus le foyer des lycéen·nes. Au tempo des planches qui frappent le ciment, Nicolas, Fuxéen, aujourd'hui étudiant, analyse « ses » années de Politique Jeunesse de la ville. A 17h00, les lieux se vident, les lycéen·nes montent dans leurs bus.
En ce mois de février, la soirée semble commencer dès 17h35, à Foix. Alors que les lycéen·ne·s ont dans leur grande majorité quitté la ville, des jeunes femmes sont en recherche de lieux de sociabilisation. Elles sont jeunes travailleuses, en recherche d'emploi ou en formation, et elles déplorent les fermetures des bars et des espaces jeunes avant même la tombée de la nuit.
Elles sont arrivées à Foix depuis quelques jours ou quelques mois, de Lyon ou de Côte d'Ivoire, par erreur ou par choix. Alors que la nuit tombe et que la ville semble s'éteindre, elles nous disent leur plaisir de vivre là dans une cité à taille humaine, tranquille mais néanmoins vivante en journée.