Le petit village d’à côté
Au camping du Pré Cathare à Lavelanet, une quinzaine de personnes vivent neuf mois de l'année dans leur mobil-home. Ces "résidents longue durée" nous racontent ce choix d'habitat particulier. Quand les beaux jours arrivent, le camping change de visage ...
Bravo pour ces momentS de villageois au repos après une folle saison remplie d ambiances d activités que j’ ai vécu parlais les tourristes . Au final l on est que des villageois mais en soirée n restent que des gens agréables même familial dans le respects de tous .
N étant pas adepte des camping la sur Lavelanet j’ ai trouvé la possibilités d un jour y habiter .et y vivre avec la proximité de tout écoles magasins et la simplicité et aimabilité du patron . .j’ aurais attendu longtemps avant de voir s ouvrir un lieu pareil. .mais faut vivre cet expériences un été pour en garder des souvenirs toute une vie . . Et comme dirais une amie qui est partie .Lavelanet quand on y viens un jour on oublie pas ces lieux magiques et on est forcé d y revenir car le cœur nous y mène . . .
Je serai heureux de savoir pourquoi la législation interdit de vivre à l’année dans un mobile home? Cette vie est saine, au grand air, de plus économiquement intéressante pour des personnes particulièrement retraitées qui ont l’occasion d’avoir une activité de plain air active.
Il se peut qu’il y ait une raison que j’aimerai connaitre, car ces gens semblent heureux et ne privent pas la liberté d’autres. Joli film d’habitants ariégeois (ou non) contant de cette situation.